Pour une fois, dans les puzzles jeux vidéo que je fais, il s’agit d’un jeu qui n’est pas encore sorti, à l’heure où nous le faisons, et quand j’écris cet article. En effet, Diablo IV doit sortir le 6 juin 2023. J’ai eu la chance cependant d’être invité à jouer à la bêta privée du jeu, et c’est ce qui a relancé mon intérêt : je sens de bons augures pour ce titre ! Et suivant cette hype je me suis dit qu’un puzzle sur ce thème pouvait continuer d’entretenir mon envie jusqu’à la sortie.
Hélas, cette envie grandissante, et cette passion pour ce puzzle en particulier, m’a occupé le cerveau, au point d’oublier de prendre des photos. Ce sera donc l’occasion de le refaire, peut-être plus tranquillement, en prenant garde à conserver des traces de « l’exploit ».
Comme d’habitude, et parce que je réalise que mes yeux sont plus sensibles et précis aux couleurs claires et lumineuses que foncées et sombres, je débute par les bords, et Inarius, l’un des deux personnages principaux en haut (le 2e est invisible pour le moment), ainsi que le coin supérieur gauche, très blanc.
En commençant le puzzle, et en commençant la plupart des puzzles d’ailleurs, nous faisons un tri des pièces, avec des boîtes,souvent par « thématique de pièces » : couleurs, formes, objets, personnages, etc.
Sur cette image, cet artwork du jeu, trois zones sont facilement reconnaissables : à gauche, les anges qui suivirent Inarius lorsqu’il décida de quitter les Cieux et le Conflit. Au centre, Inarius et Lilith, les deux personnages qui créèrent Sanctuaire, un lieu en dehors du Conflit dans lequel ils pouvaient se réfugier, ainsi que les Nephalem, leurs descendants, qui plus tard devinrent… l’Humanité. A droite, les démons qui suivirent Lilith lorsqu’elle décida de quitter les Enfers et le Conflit.
Et donc, ayant trié les pièces selon ces 3 zones, je peux avancer relativement rapidement le puzzle, et dès le lendemain du début, il prend déjà bien forme.
C’est alors que se produit un petit « trou » de deux semaines, pendant lesquelles je n’ai pas vraiment avancé, par manque de temps et d’envie, ce qui aussi a permis de le compléter avec Amina aujourd’hui. Et pour la petite anecdote, sur le puzzle de Delacroix, j’avais l’habitude de dire que les pièces étaient particulièrement sombres et impossibles à deviner. Force est de constater, et d’admettre, qu’il ne s’agit pas ici du puzzle le plus clair du monde !