Si pendant mon doctorat j’ai beaucoup marché, j’ai également fait un peu de vélo. Mais la « platitude » de la région parisienne n’est rien comparée à mon Sud natal.
Le retour dans le Sud avec le VTT à Assistance Électrique (VTTAE) m’ouvre des possibilités nettement plus grandes qu’avec un VTT classique.
Pour ce parcours, j’ai parcouru 35 km, 3h35 pauses comprises, et 875 m de dénivelé positif.
La descente vers la route des Crêtes
Pour tester ces possibilités, j’ai fait le petit tour suivant. En partant de Roquefort-La-Bédoule, je suis monté sur le Pas d’Ouillier puis je suis descendu vers La Ciotat en passant par le Vallon de Gendame. En bas de Gendame, on est au niveau du village de Ceyreste.

De là, j’ai suivi la route jusqu’aux plages de La Ciotat, du côté du port St Jean. J’ai tout d’abord suivi la côte vers le Sud et le port principal. J’ai ensuite bifurqué vers le centre ville, et vers la route des Crêtes. Je suis passé notamment par le chemin des Carrières, qui mène aux anciennes carrières de La Ciotat.

Quelques centaines de mètres avant la carrière, un chemin DFCI commence sur la droite (orienté nord). Le chemin serpente en plein cagnard et se termine dans le massif, juste en dessous du Cap Canaille. De là, j’ai suivi la route pour descendre à Cassis, tout en restant le plus possible sur les hauteurs. Mon objectif initial était de rentrer à La Bédoule sans trop perdre d’altitude.

La remontée
Lorsque se termine la route des Crêtes, on est sur les hauts de Cassis, à proximité des vignes. C’est le moment de remonter l’avenue Émile Bodin, qui mène au quartier des Cuettes. J’ai enfin pris le chemin des Cuettes, qui monte à travers la garrigue, pour me retrouver à nouveau au Pas d’Ouillier (mais de l’autre côté de l’autoroute). De là, j’ai pu reprendre le chemin de la maison, par le centre ville. Pas de photo de cette partie : à ce moment-là il était midi passé, la chaleur était étouffante, et j’étais surtout concentré sur rentrer avant les chaleurs de l’après-midi 🙂

